top of page

 

Un peu d’histoire… les origines de la sophrologie

​

Créée en 1960 à Madrid par le professeur Alfonso Caycedo, médecin neuropsychiatre, la sophrologie est une méthode construite sur des bases spirituelles (le bouddhisme), philosophiques (la phénoménologie), scientifiques ainsi que sur des approches et des techniques comme le yoga, le zen, la pratique des actes conscients (comme la méthode Vittoz), la relaxation (relaxation progressive de Jacobson, training autogène de Schultz…), les relaxations dynamiques et les sophronisations.

La sophrologie est donc au carrefour de plusieurs cultures et de plusieurs disciplines et la synthèse des meilleures techniques et approches permettant « d’être plus détendu sur un plan physique et plus apaisé sur un plan mental, dans une recherche d’harmonisation de l’être ».

​

​

 

La Sophrologie est donc une méthode complète de développement personnel, qui a pour but l'harmonie entre notre corps, notre mental et nos émotions, afin de mobiliser positivement  toutes les ressources et capacités présentes en chacun de nous pour affronter tous les évènements de la vie en toute sérénité.

 

 

Elle utilise des outils efficaces et faciles à reproduire en toute autonomie tels que la visualisation et des exercices corporels.

 

Elle peut-être utilisée comme thérapie ou bien en prévention, comme une hygiène de vie.

​

Sophrologie : science de l'esprit harmonieux

Le sophrologue ne concurrence pas les professionnels de santé. Il ne pose pas de diagnostics, n’influence pas les choix thérapeutiques de ses clients et n’interfère pas dans les traitements en cours.

Il dirige vers un thérapeute compétent et dûment qualifié le client qui nécessite une aide qui ne relève pas de ses compétences. Il assure avec compétence son rôle d’auxiliaire de la santé avec les autres professionnels.

Le sophrologue s’engage à respecter les cadres et les principes généraux de la méthode. Il respecte les valeurs que défend la sophrologie : responsabilité, tolérance, respect de la liberté individuelle et de la dignité humaine.

Il exerce son activité sans aucune discrimination d’âge, de sexe, de religions.

Le sophrologue est tenu au respect absolu du secret professionnel envers ses clients. Le secret professionnel ne pourra être levé que dans le cadre des dispositions prévues par la loi.

Le sophrologue a acquis au cours de sa formation les cadres méthodologiques, théoriques, techniques et pratiques propres à la méthode au travers desquels il se définit professionnellement.

Il s’engage à respecter les cadres et limites de ses compétences, à informer et justifier de celles-ci auprès de ses clients.

 

En aucun cas elle ne substitue un traitement médical.

bottom of page